dimanche 16 janvier 2011

UNE JOURNEE DE TRANSPORT VERS ARACAJU ET SALVADOR DE BAHIA

EN PREAMBULE : NOUS SOMMES A 2 000 KILOMETRES DES INONDATIONS DONC PAS DE SOUCIS POUR NOUS


Chaque matin je suis réveillé très tôt vers 6h.  Parfois avant…. Je ne sais pas pourquoi.  Mais j’ en retire la satisfaction de voir les premières lumières de la journée qui se sont montrées à partir de 5h . Chaque matin c’est beau et différent.  L’ accord commun entre nous 3 est que je sorte de la chambre sans faire de bruit avec mon ordinateur, livre, appareil photo, téléphone,lunettes…. J’ oublies toujours quelque chose, je reviens dans la chambre et je réveille Sophie. Ensuite pareil pour Anouck qui vers 7h se réveille et viens me rejoindre. Le jeu est de me trouver à l’ intérieur ou à l’ extérieur de la Pousada ( la plage par exemple si nous sommes dessus). Et  Sophie se lève… Si c’est face à la mer c’est plus facile pour elle.

Ce jeudi 13 Janvier nous donnons une très  mauvaise note au petit déjeuner. Il faut savoir qu’au Brésil le petit déj est plus à l’ anglaise qu’à la française. Tous les matins nous avons droit au jus de fruit frais, fruit frais ( pastèque, mangue, ananas,papaye, banane…), œuf, saucisse, jambon et un choix de gateaux . Et suivant les pousadas il y a des extras, des surprises…. Aujourd’hui que dalle. A notre arrivée on a ressenti un réceptionniste surement gérant,   désintéressé, avec un sourire hypocrite et qui n’en avait rien à foutre. Pareil pour le p’tit déj.

Nous sommes toujours au Nord de Maceio, grande ville que nous devons traverser  avec Aracaju avant d ‘atteindre Savador de Bahia. Mais nous avons décidé de les  éviter, fuyant les grandes villes. Nous grimpons dans un taxi collectif ( sorte de  VW/transporter) ou les gens descendent ou montent tous les kilomètres. Avec nos gros sacs  on doit bien les emmerder…. Au bout d’une heure il nous laisse à la gare routière de Maceio et là nous hésitons en fonction des horaires de bus donnés suivant les destinations. Nous décidons de partir pour Penedo. 2h et 1/2 d ‘attente dans la gare routière que nous passons avec 2 filles espagnoles, Maria et Laura, qui prendront le bus avec nous jusqu’à la Pousada Coloniale ou nous arriverons tard vers 20h. Penedo est situé au bord d’une énorme rivière à la jonction  de la mer à 2 ou 3 kilomètres. Petite ville coloniale  de l’ Etat de ALAGOAS de 60 000 habitants très agréable même de nuit.  Nous dînons dans un restaurant classique  bien animé par les Brésiliens . Comme hier nous sommes en dehors des sentiers battus et les touristes  ne sont pas nombreux.

Le lendemain matin je zone dans la ville à partir de 6h et demi à  la recherche d’une boutique pour accèder à internet. Je découvre ainsi cette ville coloniale, très agréable. Un peu plus tard, on laissera Anouck avec la fille de la patronne de l’ hotel et on part avec Sophie visiter un peu la ville.

Vers midi on prend un bateau pour traverser la rivière et atteindre Néopolis.

Gilles






 

4 commentaires:

  1. On se demandait ou vous étiez passés!! Ca valait le coup d'attendre! Ph.

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  2. bon, je me suis réservée enfin hier ma soirée blog des J-V, avé la carte sous les yeux et tout en me disant : trop dur de regarder un peu tous les jours, vaut mieux se faire une bonne session au risque de devenir accro...
    Résultat, je suis accro... limite ouvert en fond d'écran... Merci merci de passer ce temps à nous faire rêver.

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  3. Coucou, nous revoilà les Trubis. Les mauvais jours, je l'espère derrière nous....
    Contente de vous lire et de vous visualiser. Je commence à apprécier, je sens que vous vous dirigez vers des lieux qui pourraient me plaire. Marc dit que Salvador est spectacular! Vous nous direz. Nous vous embrassons tous les 3.
    Nous 4

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  4. Salut !

    Nous faisons ce que nous avions dit que nous ne ferions pas c'est à dire bouger tous les jours un peu au hasard. Comme ce n'est que sur 4 ou 5 jours c'est absolument genial, on se laisse porter par l'envie et on prolonge quand c'est bien ... il faut dire qu'on appréhende un peu d'arriver à salvador de Bahia (3 millions d'habitants) tout en etant très attirés par ce qu'on en entend ...

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